La newsletter du collectif du Village des Pins - 19/11/2020
Envoyée vendredi 20 novembre 2020 à 11:02:09
#covid19
Nos idées cadeaux pour bien préparer Noël
A l’approche des fêtes nous vous conseillons la lecture ou la relecture de quelques classiques.
Bien sûr, toute ressemblance avec des personnes existantes est purement fortuite. Pourtant, les similitudes avec notre Village sont particulièrement troublantes et quelques sujets nous interpellent.
Parmi les bandes dessinées :
La Zizanie : album d’Astérix, accessible dès 5 ans et jusqu’à 99 ans, dans la collection Histoire.
Avec l'espoir de conserver sa mainmise et de semer la zizanie, César décide d'envoyer aux Gaulois, Tullius Détritus, un Romain qui a un don inouï pour provoquer des disputes. Tullius Détritus (aidé par le camp d'Aquarium, mais pas que) arrive à semer la discorde dans le petit village gaulois où tout le monde se méfiera de tout le monde. Heureusement, malgré la crédulité des habitants du village et la calomnie, le calme et la concorde reviendront, au terme d'une grande bataille.
L’avis des lecteurs : en pleine actualité. Authentique.
Les aventures d’oncle Picsou : dans la collection Culture générale.
Picsou a amassé une énorme fortune, stockée en grande partie dans son coffre-fort de 30 000 mètres cubes édifié à Donaldville. Cependant sa fortune est bien plus vaste que les seules « liquidités » de son coffre (qu'il considère comme des souvenirs de sa jeunesse) car il possède évidemment des comptes bancaires (ainsi que les banques elles-mêmes), des avoirs, actions, etc. Mais parmi les montagnes d'argent accumulées, une pièce joue un rôle à part.
D'après l’auteur, le père de Picsou, après avoir trouvé une pièce étrangère, l'aurait donnée à un cantonnier dénommé Burt pour que ce dernier aille voir Balthazar pour se faire cirer ses chaussures et par la suite, payer celui-ci avec la pièce sans valeur. Le jeune cireur, se sentant trompé par son premier client, y voit déjà une leçon de la vie et prend la résolution de toujours vérifier ses sous.
L’avis des lecteurs : un canard seul pour gérer le magot. C'est une histoire à dormir debout, mais qui fout carrément les « jetons ». Y-a comme un couac.
Les pieds nickelés : dans la collection Farces et attrapes.
L'histoire d'une bande d'olibrius, spécialistes en coups tordus. Hier méprisants, aujourd'hui pleurnichards, et demain revanchards… Le retour. Ils ne manquent jamais d'air et c'est peu glorieux !
L’avis des lecteurs : sans intérêt, réchauffé, has been.
Pour revenir aux choses concrètes :
Résidence principale en PRL : dans la collection Les érudits.
Le décret d’application de la loi ALUR datant du 27 avril 2015 a rendu légal le fait de résider de façon permanente dans un PRL et d’y élire son domicile fiscal.
Aux termes de l’article R.* 111-46-1, le décret définit l’habitat léger comme lieu d’habitation permanent dès lors qu’il est occupé à titre de résidence principale au moins huit mois par an.
Et l’article 1 du décret d’application du 27 avril 2015 de la loi ALUR de stipuler :
« Art. R.* 111-32. – I. – Les habitations légères de loisirs peuvent être implantées dans :
« – les parcs résidentiels de loisirs spécialement aménagés à cet effet. »
S'il fallait encore s'assurer que toutes les constructions dans un PRL à cession de parcelles, comme ici, sont bien des habitations légères de loisirs (HLL), la doctrine de l’administration fiscale lève définitivement le doute et la moindre ambiguïté sur la question.
« Sont imposables les constructions qui sont fixées au sol à perpétuelle demeure et qui présentent le caractère de véritables bâtiments ».
Dès lors, sont passibles de cet impôt (taxe foncière) les HLL qui reposent sur des fondations ou une assise en maçonnerie telles qu'il soit impossible de les déplacer sans les démolir ».
Réponse du Ministre de l'économie, des finances et de l'industrie au sénateur P. Hérisson, publié dans le JO Sénat du 05/09/2002 - page 1951.
Comprenez bien que le PLU de Gujan-Mestras, zone UK, ne peut pas aller et ne va pas à l'encontre de ces textes.
L’avis des lecteurs : il faut se souvenir que l'ancien bureau et le directeur actuel ont engagé 2400 € en honoraires d'avocat l'an dernier pour essayer de démontrer le contraire sans, évidemment, y parvenir : tout simplement honteux et scandaleux !
La vérité enfin rétablie.
Les attestations notariales qui comportent une clause exclusive contraire, sont-elles en conformité avec la loi ?
Gérer soi-même sa copropriété ou son ASL : dans la collection Stratégie et Organisation, accessible aux débutants.
Cette 3ème édition constitue un guide aux syndics non professionnels pour gérer sans risque (et souvent mieux que les professionnels) les questions afférentes aux Associations syndicales libres (ASL). Des responsables d'ASL relatent leurs expériences positives d'une administration directe. Les outils existent.
Administrer sans directeur professionnel.
C'est une alternative probante que nous devons maintenant expérimenter.
Nous affranchir du système actuel représenterait une économie substantielle d'environ 25 K€/an * . Assainie du très troublant et ambigu « compte jetons », elle permettrait, soit d'améliorer le fonds de roulement (la réserve), soit d'investir dans des travaux d'utilité collective, soit les deux. Cela nous rendrait beaucoup moins dépendants.
Pour ce faire, plutôt qu'un directeur invisible, appuyons-nous sur les compétences largement moins onéreuses d'un expert-comptable qui passera les écritures et tiendra nos comptes en toute quiétude.
Dans cette perspective, il faut aussi relativiser la notion d’impayés et le risque encouru. En effet, il s’agit quasiment de retardataires et cela constitue un faux problème dans le débat. Recourons également sans tarder, aux mécanismes de paiements par virements/prélèvements automatiques.
L’intérêt d’être autonome, la STEK l’a déjà bien compris !
En finir avec le « compte jetons »
Cela signifie que toutes les opérations et toutes les écritures doivent aboutir ou partir du compte banque ASL Village des Pins, qu'elles soient communes ou propres au Village.
Qu’en parallèle, notre part du "compte jetons" dont l'ASL Khélus est seule titulaire, nous soit créditée de façon régulière sur ce compte bancaire, mensuellement ou trimestriellement. Notre part représente 30%.
Un cash qui se chiffre, au bas mot pour le Village, à 11 K€/an.
On ne devrait plus payer quoi que ce soit avec cette caisse qui n'est soumise à aucun contrôle et à laquelle est adossée, malgré tout, une Carte Bleue...
Reprendre les rênes de notre ASL au plus vite
L’article 20 de nos statuts n’impose pas de directeur « professionnel », il n’en fait qu’une possibilité !
Article 20 : « Ce président assure la gestion effective de I'ASL de propriétaires, sous le contrôle du syndicat.
Toutefois, le syndicat peut confier la gestion de I'ASL à un directeur, professionnel de l'immobilier, lequel disposera alors des pouvoirs définis à l'article 19.
Le syndicat fixera la rémunération du directeur et la durée de ses fonctions ».
Il faut en finir avec ce système alambiqué et inextricable, imposé depuis l'origine mais jamais remis en question.
Avec un expert-comptable les choses seront beaucoup plus claires et beaucoup plus simples.
Il est grand temps de prendre nos responsabilités !
L’avis des lecteurs : enfin une idée neuve pourtant ancienne. Simple, réaliste, efficace.
Au fond, c'est la seule vraie question à se poser.
Le directeur actuel, c'est le syndic de copropriété De La Combe.
* 28 K€/an de frais pour ce directeur, sur un budget propre au Village de 49 K€/an.
Pour suivre notre fil, rendez-vous sur :
https://collectifvdp.blog4ever.com
Attention, ce blog n’est pas le porte-parole du bureau de l’ASL Village des Pins et n’a pas vocation à le devenir.
Il revendique son indépendance et sa libre pensée et se présente comme force de proposition.
#covid19 Ne pas respecter les gestes barrières, c'est prendre des risques pour soi et pour ses proches. On peut tous être touchés, alors on doit tous se protéger.